Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Catch Dust
28 mars 2010

Regard sur The Servant

002Grand

Ce soir, dans un élan de nostalgie, j'ai regarder de vielles vidéos qui trainaient sur ma machine et je suis tombée sur eux, The Servant. C'est un groupe que j'ai suivi durant quelques années et que j'ai vu de très nombreuses fois en concert. Aujourd'hui, le groupe n'existe plus, seul Dan Black - chanteur et cerveau du groupe - poursuit à ma connaissance une carrière solo dans la musique (dans un genre toutefois plus électro).

Dr Jeckyll and Mr Hyde
Dancing round in my insides


On aime bien qualifier la musique de The Servant de Pop Rock anglais Psychédélique, ce qui leur correspond plutôt bien mais pas que ! Après 10 ans de collaboration, le groupe c'est séparé en 2007. De cette carrière a résulté 2 mini-Ep et 2 albums, The Servant (2004) et How to Destroy a Relationship (2006). Avec une réelle identité musicale, entourée d'une aura créative, le groupe se démarque très largement de ses compatriotes en "The". Le soin apporté aux paroles et à la recherche de nouvelles sonorités pour l'époque confirme cela.


Même si le nom du groupe ne vous dit rien, vous avez sûrement entendu leurs titres un jour. Orchestra et Liquify ont été deux gros succès, et Cells dans sa version instrumentale fut utilisée pour le thème de Sin City (imaginez Jessica Alba se déhancher...).

 You’re the daylight ghost that creeps
You’re the empty city streets and I
And I see you
And those talkshows fill your days
Something is slipping away
Sometimes it feels like you don’t have a body

Si vous souhaitez les découvrir, je vous conseille de commencer par l'album éponyme du groupe, avec des chansons comme Body (qui est pour moi la chanson ultime), Orchestra bien sur, mais aussi Jesus Says et Not Scared, Terrified. Sur le second album, on trouve des titres plus entourés musicalement et qui bougent un peu plus comme Sleep deprivation et Brains. Il faut surtout écouter les titres How to Destroy a Reletionship et Save me Now. Les EP sont pas mal, mais plus éclatés et bruts (à écouter : Conversation, Biro, Too late).



ChrishaEt c'est sur scène que le groupe prend toute son ampleur. Vraiment toute son ampleur. Dan Black l'infatiguable est un vrai personnage scénique qui livre des show incroyables. Chris Burrows à la guitare, et les autres membres du groupe ne sont pas en reste.


Petit hommage du soir donc, à un groupe qui se situe un peu loin de ce que j'écoute aujourd'hui mais que j'aime toujours autant. Je garde espoir de les revoir en concert un de ces jours !

Publicité
Publicité
Commentaires
Catch Dust
Publicité
Publicité